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Photo par Bernard Tremblay

Bruant de Lincoln

Bernard Tremblay

18 juin 2016

Bighorn No. 8

Le bruant de Lincoln ressemble au bruant chanteur sauf que ce premier a une poitrine jaune. Ce bruant de Lincoln se cachait dans une tale de saule pour enfin chanter très près de moi ce qui m’a permis d’apercevoir les détails de son plummage.

Bighorn No. 8

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Bernard Tremblay

de Calgary, Alberta

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Bruant de Lincoln

Discret, ce bruant est peu connu du grand public, mais son chant mélodieux mérite notre attention. Il affectionne les endroits retirés tels les tourbières, les fourrés de saules et d'aulnes, les prairies humides et les secteurs de forêt qui ont été touchés par le feu. Le chant du mâle rappelle un peu celui du Troglodyte familier en moins puissant. Il débute toujours par un «glou-glou»: «glou-glou tchit-tchit-tchir zourrrr zourr zourrr».Son plumage ressemble à celui du commun Bruant chanteur mais les rayures sur les flancs sont plus fines. Une bande ocre traverse la poitrine finement rayée et les flancs. Sa face a des teintes plus grises que chez le Bruant chanteur, et sa poitrine n'a aucune grosse tache noire comme chez ce dernier. Le dessus est brun strié de noir, il a deux bandes rousses tachées de noir sur la calotte et le ventre blanc uni. Les deux sexes sont identiques.

Faits marquants 

Chez cette espèce, c'est souvent la femelle qui sollicite le mâle pour des copulations et non l'inverse. Elle s'accroupit en frétillant des ailes et émet de petits cris. Visiteur occasionnel aux mangeoires en migration, il se fond souvent dans un groupe de bruants d'autres espèces. Très farouche, au moindre bruit il part vite se cacher dans les buissons en pépiant.

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